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27 janvier 2017 5 27 /01 /janvier /2017 08:22

Ma grand-mère maternelle Agnès Catherine avait deux gourmandises dont elle raffolait : les crêpes et le pâté aux prunes , pâtisserie et spécialité de la région angevine. Si ma grand-mère paternelle adorait cuisiner , ma grand-mère maternelle aimait les plats simples. Néanmoins, elle avait une recette fétiche quand elle voulait honorer ses invités : le coq au vin. 

     

LES CREPES
LES CREPES
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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 16:55

 

L'homme qui rend mère une fille pauvre et qui laisse le travail de cette femme pourvoir seul aux besoins de son enfant. A t-il conscience de ce qu'il fait ?   

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 21:46

 

                             LA CONSCIENCE 

 

 

Admettons que rien de tout cela n'altère votre quiétude. Peut-être si désagréable que ce soit, m'écouterez -vous avec plus d'attention si sans m'arrêter à vous parler de ces mille dégoûts dont le total ne fait pas un remords mais une gêne obscure, je vous provoque directement à fouiller ces replis de votre conscience où sommeillent certains souvenirs dont un seul ne saurait remonter à la surface sans que même étant sans témoins , vous vous sentiez contraints de voiler votre regard comme pour refouler au- delà la honte prête à envahir votre visage.

Dites-moi , ô mon frère, que mes paroles en ce moment atteignent invisiblement mais profondément , êtes-vous tout-à-fait certain qu'il n'y a pas quelque part en un coin précis de la terre des êtres que vous avez plongés dans la souffrance,  dans le dégoût , dans la révolte ou dans la mort ?

N'avez -vous jamais troublé volontairement ou à la légère un coeur de femme pour vous divertir un moment, sans que l'existence à jamais gâchée de votre victime pèse bien lourd dans vos soucis quotidiens ?

Ne vous-êtes vous jamais assis à la table de famille avec un coeur lourd des hideux mensonges de l'adultère baigné dans cet amalgame de bassesse , de déloyauté et de la lâcheté dont vous cherchez du reste la justification quasi-officielle chez quelques -uns de vos romanciers et auteurs dramatiques en quête de gros tirages et de succès lucratif. N'avez-vous jamais senti votre conscience vous faire mal à l'idée qu'il n'est pas tout à fait impossible que cet accusé assis sur les bancs de la cour d'assises, ancien enfant de l'Assistance publique, soit votre fils , celui que nous n'avez pas seulement voulu reconnaître mais que vous n'avez même pas connu ou dont la mère fut dédommagée à vos yeux par une somme d'argent étant , disiez-vous , ô cynisme de celles avec qui l'on s'amuse mais que l'on n'épouse pas. Et les affaires ? Et le commerce ? Et les places où vous êtes parvenus, vraiment n'y- a- t'il point là quelque chapitre du livre de votre vie , dont certaines pages seraient pour certains d'entre vous douloureuses à relire ? 

Mais je suppose que votre conscience reste muette. Vous avez réussi plus ou moins à l'anesthésier et vous ne vous encombrez plus de remords. Votre regard sur la vie cependant, garderait-il sa tranquillité si rentré chez vous, vous trouviez ce soir votre enfant à la mort et que demain après une lutte désespérée de cette jeune vie qui ne veut pas finir , il vous fallut l'ensevelir cet être qui était tout votre espoir et apercevoir des mains étrangères , indifférentes river le couvercle d'un cercueil sur ce qui reste de vos tendresses et de vos ambitions ? Ah ! Pères infortunés , ce jour-là pourriez vous dire que vous ne ressentez point l'inquiétude humaine ?

Enfin si connaissant les secrets divins , je pouvais me diriger vers celui d'entre vous qui doit mourir le premier et lui dire mon frère dans tant d'heures tu ne seras plus, qu'éprouveriez-vous si vous étiez cet homme -là ?

Et lorsque l'infortunée que tu auras minée dans ses beaux jours succombera enfin à sa dernière maladie , lorsqu'elle sera là couchée devant toi, dans le plus triste abattement , qu'elle lèvera au ciel des yeux éteints et que la sueur de la mort sèchera sur son front ; que debout devant son lit comme un condamné , tu sentiras que tu ne peux rien faire avec tout ton pouvoir , que tu seras déchiré d'angoisses et que vainement tu voudras tout donner pour faire passer dans cette pauvre créature mourante un peu de confortation, une étincelle de courage ? ...

En vérité devant cette hypothèse qui sera un jour certitude , si votre coeur ne tressaille pas , je n'ai plus rien à vous dire , il ne me reste qu'à vous plaindre.

 

Extrait d'un sermon du Père Samson Carême 1924 à Notre Dame  

   

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7 mars 2011 1 07 /03 /mars /2011 23:20

Ceux qui sont aujourd'hui pour vous pourront demain être contre vous et réciproquement.

Les hommes changent comme le vent. 

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6 novembre 2010 6 06 /11 /novembre /2010 13:57

 

lampe-a-petrole-001.JPG

 

J'ai hérité de deux de ces lampes à pétrole qui ont appartenu à mon arrière grand-mère Barrault Aimée. Le pied de celle-ci est plus usé , plus patiné. Mon oncle m'a fait observer que sa grand-mère utilisait toujours la même lampe pour aller ouvrir le soir quand on venait chez elle ou se pour éclairer un endroit où elle ailait. Ce qui explique cette usure sur une seule de ces lampes.  

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1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 16:53

Mon coeur a la clarté s'enflamme

 

Je sens des transports inconnus

Je songe à ceux qui ne sont plus

Douce lumière. Est-ce leur âme ?

 

Peut-être ces mânes heureux

Glissent ainsi sur le bocage.

Enveloppée de leur image,

Je crois me sentir plus près d'eux.

 

Ah ! Si c'est vous, mes ombres chéries

Loin de la foule et loin du bruit

Revenez ainsi chaque nuit

Vous mêler à mes rêveries.

 

Ramenez la paix et l'amour

Au sein de mon âme épuisée

Comme la nocturne rosée

Qui tombe après les feux du jour.

 

Venez ! ...mais des vapeurs funèbres

Montent des bords de l'horizon :

Elles voilent le doux rayon 

Et tout rentre dans les ténèbres.

 

Lamartine

(extrait Le Soir)


 

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 08:14

  L'amour est une rose, non une immortelle.

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21 août 2010 6 21 /08 /août /2010 15:15

 L e livre de la vie est un livre suprême

  Qu'on ne peut ni fermer ni rouvrir à son choix

  Le passage attachant ne s'y lit pas deux fois

  Mais le feuillet fatal se tourne de lui-même

  On voudrait s'arrêter à la page où l'on aime

  Et la page où l'on meurt est déjà sous nos doigts.

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16 août 2010 1 16 /08 /août /2010 19:02

 

Quand on prend quelqu'un en aversion , il est bien rare qu'on le juge avec équité.

 

Catherine Phébert

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15 août 2010 7 15 /08 /août /2010 11:34

Dieu tout puissant !  Quelle est la destinée de la créature  lorsque le malheur s'attache  à ses pas ? 

 

Chateaubriand. 

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