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J'ai retrouvé l'article de presse relatant l'accident de mobylette ayant coûté la vie à Maurice Catherine, frère de mon grand-père maternel Roger Catherine.

Cet article est paru le dimanche 29 octobre 1933 : 

autre article paru le mardi 31 octobre 1933

L'avis d'obsèque paraît le mercredi 1er novembre 1933 :

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Cette photo représente un jour de communion pour deux frères . A droite il s'agit probablement de mon grand-père maternel mais je n'en suis pas certaine à 100 %.    

Mon grand -père maternel Roger Catherine est à gauche.

Comme son père et comme son frère Roger Catherine (mon grand-père maternel), Maurice était facteur. Il est décédé accidentellement dans les années 1930 en faisant sa tournée. Il fut renversé par une voiture rue Saint Léonard à Angers. La clinique établie dans cette rue , ne sachant pas s'il pouvait payer les frais nécessaires, refusa de le prendre en charge. Il fut alors dirigé vers l'hôpital mais d'après les témoignages de ma mère succomba rapidement.

C'était le facteur de ce quartier et pourtant la clinique le refusa. Une prise en charge rapide aurait-elle pu le sauver ?

Je ne connais pas la date précise de cet événement mais je pourrais le retrouver dans la presse de l'époque consultable sur le site des archives départementales du 49. Toutefois la consultation est longue et un peu fastidieuse car il faut zoomer à chaque fois la page que l'on veut consulter. Un seul mois d'une année comporte quelques 200 pages... Avant la mise en place sur Internet, nous pouvions consulter les journaux de l'époque choisie sur papier, ce qui était beaucoup plus rapide.

Mon grand-père était très lié avec Maurice.

Les deux frères de mon grand-père eurent une descendance.

C'est le baptême de l'air pour mon grand-père. Ce baptême de l'air lui avait été offert par la Poste où il travaillait et le récompensait de son excellente tenue journalière de facteur. Il faut dire que mon grand-père avait la réputation d'être un peu maniaque. Il avait une devise qu'il aimait répéter : "Une place pour chaque chose et chaque chose à sa place". 

Une autre devise un peu plus triviale cette fois qu'il aimait aussi répéter consistait à répondre aux personnes qui lui disaient : "On ne peut pas être et avoir été" : "Si, on peut avoir été c..et le rester".